Akane Iro Ni Somaru Saka [Amour&Amitié]

AKANE IRO NI SOMARU SAKA

NOM :

AKANE IRO NI SOMARU SAKA.
ANNÉE : 2009
ÉPISODES : 12 ÉPISODES - 25 MINUTES
GENRE : AMOUR ET AMITIÉ
STUDIO : TNK - MARVELOUS ENT.

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HISTOIRE

Nagase Junichi vit avec sa soeur alors que ses parents sont partis à l'étranger pour vivre dans l'aventure à l'extrême. Junichi verra sa vie bouleversée lorsqu'il rencontre Katagirl Yuuhi, une jeune fille qu'il a sauvé d'une bande de voyous. Qui aurait crue que cette fille était sa fiancée ?

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PERSONNAGES PRINCIPAUX

NAGASE JUNICHI
Le sauveur de sa fiancée, qui effrayait les voyous à cause de sa réputation du Genokiller, nom qu'il a obtenu lors de ses années de petit rebel. Il déborde d'imagination et il est plutôt idiot. Mais, il est entourée de filles et mène la belle vie !

NAGASE MINATO
Jeune soeur de Junichi, elle s'occupe de lui et veille sur ce dernier pendant l'absence de ses parents.Une relation plutôt particulière existe entre son frère et elle. Elle est très gentille, souriante et amicale. Le grand contraire de son frère avec cette nature agréable.

KATAGIRL YUUHI
Étant une héritière, son père cherche à lui trouver un fiancé. Avec un caractère bien prononcé, elle tente de prouver à son père qu'il n'est pas pour elle après avoir trouver de multiples défauts à Junichi.

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MON AVIS

• GRAPHISME : 2/5
Un style très faible : encore un shojo au dessin classique des filles aux grands yeux. Rien de très exceptionnel, plutôt décevant même.
• HISTOIRE : 0/5
Terriblement mauvaise et étrange. On va d'un héro entouré de jeunes filles (Et oui, un anime basé sur un Eroge, encore.) à une histoire qui tourne presque à l'inceste ! Le sauveur réalise qu'il a peut-être des sentiments pour sa ''soeur'' et retourne dans sa période rebel, qui consiste à porter des gants de cuir en cours. Bref, très décevant !
• TRAMES SONORES : 2.5/5
Rien de très exceptionnel, ça se suit, mais ça ne marque pas. Bref, normal.
• PERSONNAGES : 1/5
Permettez moi d'hurler. Un faux rebel, une soeur terriblement gentille et une pourrie gâtée. Des amis plutôt foufou. Je dois dire que j'ai eu l'envie de finir très rapidement cet anime. Du stéréotype pour moi !

5.5/20

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ILLUSTRATIONS

Spoiler:

Je vais commencer par un propos liminaire qui pourrait servir de conclusion, voire d’argument et de verdict à la fois : c’est l’adaptation animée d’un eroge. Ça en dit déjà long, puisque rares sont les adaptations du genre qui sont bonnes (il n’y a qu’Unlimited Blade Works qui me vient en tête), donc il vaut mieux commencer en gardant ce détail à l’esprit.
Maintenant, par rapport à ce qui est de l’histoire proprement dite, même si elle ne casse pas forcément des briques, l’anime tient la route pendant à peu près… deux épisodes. Après quoi, malheureusement, les scénaristes perdent beaucoup trop de temps à tourner autour du pot sur la relation Junichi-Yūhi et à créer artificiellement des situations où une autre fille vient mettre son grain de sel. C’est dommage, car suivre les rapports et leur évolution entre ces deux-là est le seul moteur d’AkaSaka. L’histoire ne revient vraiment au scénario qu’au dixième épisode, et le onzième se termine sur un énorme suspense, qui, disons-le clairement, est le meilleur moment de la série. Répit de courte durée, puisque le studio lui a choisi la pire des deux solutions, celle dont on se dit « pitié, pas ça ». Je n’en révélerai rien, seulement sachez que la série se termine, sommairement, sur un « tout ça pour ça ? ». Le jeu, évidemment, tient un peu plus la route car il y a bien plus de contenu, mais, même si tout adapter était impossible, il y avait nettement de quoi faire de vrais épisodes et terminer en une apothéose somme toute bien méritée après tant d’épreuves (pour nous).
Bref, seuls trois épisodes ont une vraie valeur, et la majorité des personnages, Mitsuki et Yūhi en tête, sont sous-exploités au profit d’autres pas forcément des plus intéressants, genre Minato, qu’on a envie de trucider entre trente et cent fois par épisode. Tsukasa et Karen s’en sortent plutôt bien, de manière équilibrée.

En conclusion, Akaneiro ni somaru saka est une série médiocre, c’est même la série grâce à laquelle je me méfie désormais de toutes les adaptations d’eroge, même ceux ayant un scénario solide, montrant que ce n’est pas un critère de fiabilité, l’accent étant malgré tout mis sur la multitude de femelles du casting ; dommage, puisque celle-ci possédait quelques qualités sur le papier.

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